La violence conjugale chez les femmes n’a plus aucun secret pour tout le monde. Les causes, les conséquences, comment s’en sortir, les experts se sont amplement penchés sur le sujet au fil des années. Mais n’oublions pas qu’il est certains hommes qui en sont également victimes. Le point.
La jalousie maladive
Plusieurs peuvent être la cause de la violence conjugale envers les hommes. Un complexe, une brutalité, etc., mais en règle générale, c’est toujours la jalousie maladive qui conduit à ce genre d’extrémités.
Selon les recherches également, il semblerait que les personnes ayant vécu ccela toute leur enfance ne peuvent s’empêcher de reproduire les mêmes choses une fois arrivées à l’âge adulte. Cela touche aussi bien les femmes que les hommes.
Pourquoi ne pas se défendre ?
En moyenne, les hommes qui sont victimes de violences conjugales ne parlent jamais de leur situation. Ils ont hontes. Dans la société en effet, l’idée la plus préconçue est celle qui dit que les hommes sont forcément plus forts que les femmes. Se défendre ne devrait donc pas être un problème.
Plusieurs raisons peuvent pousser les hommes à ne pas se défendre face à leur abuseur. En premier lieu, ils gardent à l’esprit que frapper une femme n’est jamais une bonne idée. C’est le fruit notamment d’une éducation depuis l’enfance. Et ils ont du mal à passer outre.
Par ailleurs, comme chez les femmes victimes de violence conjugales, ils ont tendance à se culpabiliser. Pensant que tout est de leur faute, ils n’osent se défendre. Ils pensent pouvoir régler la situation autrement. Ce qui n’est jamais le cas.
Plusieurs types de violence
Il parait être de bon à loi de redéfinir notamment ce qu’est la violence conjugale. En effet, ce terme est bien plus générique qu’il n’y parait. On pense souvent à tort que ce n’est que l’attouchement physique. Mais la violence peut être beaucoup plus discrète que les coups et les bleus. Elle peut être psychologique et verbale. Le fait de parler mal, d’insulter et de rabaisser l’autre constitue une violence, et ce, même au niveau de la loi. Et d’ailleurs, ces dernières sont considérées comme plus graves aux yeux des psychologues dans la mesure où elles laissent des traces à vie.